On observera la finesse du portrait du personnage en trompe-l'œil, qui évoque la tragédie du Tibet, colonisé par les Chinois et l'ethnie Han en particulier.
Pec détestait la colonisation, qu'il avait connue au Congo. Il avait aussi des tendances ésotriques qui empruntaient au bouddhisme, qu'il ne connaissait d'ailleurs pas.
Il faut voir dans ce tableau une condamnation du crime contre le Tibet, et là encore c'est une femme qui est au centre de la composition, parce que c'est par les femmes que les peuples et les idées évoluent, suite à la bêtise et à la folie des hommes.
Ci-dessous, l'aboutissement de ce tableau superbe, au moment où le maître sentait sa fin arriver.
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