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Huile sur toile
Format 50F (116 x 89 cm)
On peut dire que ce tableau est un des chefs d'œuvre de Pec, au même titre que le CENTAURE et la CONSEILLÈRE.
Pour en savoir plus sur la genèse de cette toile, cliquez sur le titre.
Huile sur toile
Format 50F (116 x 89 cm)
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Il n'est pas certain que la deuxième version de ce tableau ait été meilleure que la première.
Cette toile magnifique eut un énorme succès lors de l'exposition de 1997 mais personne ne l'a achetée, malgré le prix dérisoire de 20 000F (3000€) demandé par l'artiste.
Huile sur toile
Format 30P (65 x 92 cm)
Toile intéressante, Pec utilisait rarement le format horizontal. Le maître était déjà malade et ce tableau, reprise d'un premier travail non terminé, exprime une angoisse devant la mort et une fuite dans le peu de lumière qui reste encore.
Huile sur toile.
Format 20F (73 x 60 cm)
Une des dernières toiles qu'il ait vernies, où on retrouve Venise, la fête, les masques, la beauté de LA Femme, thèmes récurrents chez Pec. Il y a beaucoup de nostalgie dans ce tableau, une sorte de retour de Pec sur ce qui fut sa vie bien avant la peinture : la scène.
Huile sur toile.
Format 40F (100 x 81 cm)
On reconnaît une reprise de Tibet, qui ne plaisait plus à Pec, lequel avait pourtant à sa disposition un lot important de toiles vierges, mais de sa toile déjà un peu ancienne émanait une ambiance tragique qui lui donna d'autres idées, au moment où il sentit que sa fin était proche.
Il plane sur ce tableau une atmosphère de Fin du Monde qui fait froid dans le dos, malgré la beauté des femmes.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
La postérité se chargera de l'exégèse de ce tableau que je n'ai pas eu le temps de bien connaître. Pec était malade et il sentait à l'évidence que la fin approchait. L'ambiance est terrible.
Huile sur toile
Format 30F (92 x 73 cm)
Quand j'ai pris les photos de ses dernières toiles, au printemps 2000, Pec rentrait d'un séjour pénible à l'hôpital et il n'avait pas trop envie de parler, ce qui aurait d'ailleurs été inutile pour l'amie qui le connaissait et savait lire sa peinture.
Dans ce tableau, qui fait froid dans le dos des amis, Pec crie son angoisse devant la mort qui vient, qu'il sait imminente parce que sa santé se dégrade rapidement et qu'il sait que cette fois il ne s'en tirera pas.
On reconnaît Femme dans le Vent, qui a donné ce repentir assez fantastique.
Huile sur toile
Format 30F (92 x 73 cm)
La Femme est là, parée de ses atours, et le corps sans vie (ou simplement sans force pour les optimistes) est présenté - ou emporté - par l'hydre qui figure la Camarde, allégorie du serpent fautif au moment du retour au Paradis.
Pec n'était pas vraiment croyant, pas non plus complètement athée. Il avait une sorte de sentiment déiste qui ne se reconnaissait pas dans les religions, vaguement dans une sorte d'ésotérisme de bric et de broc pour lequel je le brocardais souvent, ce qui le faisait râler et attraper ses pinceaux.
Pec m'a fait promettre de ne jamais donner au Public les clés de sa peinture, de laisser les exégètes délirer autant qu'ils le voudront. Cette promesse faite à un ami mourant est sacrée et la monographie que je prépare, avec la collaboration amicale de tous ceux qui voudront bien y collaborer, sera publiée par ma fille après ma mort.
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