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Huile sur toile
Format 30F (92 x 73 cm)
Pour cette toile, Pec a passé plusieurs après-midis au Louvre, afin d'étudier l'art du drapé chez les maîtres flamands, lui qui en bon Wallon détestait les Flamands.
La toile originelle ne comportait que le clown gris, mais Pec avait besoin de mettre en scène des femmes dans toutes ses toiles. Observez de quelle manière astucieuse il a évité de peindre les pieds, son gros problème technique faute de disposer de dessins d'études.
Huile sur toile
Format 30F (92 x 73 cm)
Cette toile magnifique a été grattée et réutilisée pour peindre La Marine.
Elle évoquait l'évasion difficile et périlleuse du Congo, raconte par Pec dans sa nouvelle (non publiée) La Sagaie.
Huile sur toile
Format 30F (92 x 73 cm)
Cette toile a hélas été grattée et réutilisée.
Sur ce fond superbe, une femme nue, mal foutue, presque difforme, fière de son corps de Femme, indifférente aux regards, marchait en criant son bonheur d'être femme.
Tout Pec est là, dans sa sublimation du corps féminin.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Une toile mineure, que Pec n'aimait pas beaucoup, mais dont le fond est superbe.
( détail en cliquant sur le titre )
Huile sur toile. Format 30F (92 x 73 cm)
Pec aimait le Mexique, où sa fille réside avec son mari et ses enfants. Il y avait fait plusieurs voyages, il voulait y finir ses
jours, et il y a été enterré, au cimetière de Jalapa (Etat de Mexico). La veille de partir, une semaine avant sa mort, il me disait en rigolant qu'avec lui la tradition serait respectée : aucun Peclers de son lignage n'est inhumé à Liège.
Pec avait séjourné aussi en Egypte, plusieurs mois à son retour du Congo en 1962 puis à d'autres occasions, et il est amusant de voir sur le tableau une scène mexicaine avec une pyramide égyptienne.
On pardonnera à l'artiste ses petites lacunes culturelles si on est critique, on appérciera son humour si on sait qu'il détestait les
critiques.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Pec a connu pas mal de femmes dans sa vie d'artiste, c'était un bel homme et il avait beaucoup de charme. Il en a aimé deux, dont la mère de sa fille, reprsentées ici de mémoire après bien des années.
Il considérait La Conseillère comme son chef d'œuvre, l'utilisant en affiche pour ses expositions.
Il était peut-être encore amoureux...
Cette toile, comme ses dessins, montre assez qu'il maîtrisait parfaitement la technique du portrait, et donc que si les femmes de la
plupart de ses toiles n'avaient pas de visage, c'était volontaire, point n'étant besoin de visage pour sublimer la féminité.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Une petite toile que Pec aimait bien. C'est une des rares toiles de cette période dans laquelle Pec n'ait jamais essayé de placer une femme.
Il avait travaillé tant d'années Place du Tertre qu'il était capable de dessiner ou de peindre le Sacré Cœur de mémoire, ce qui étonnait les touristes de la place, et lui valait quelques clients de plus...
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Pec a côtoyé et "connu" pas mal de femmes dans sa vie d'artiste. Celle-l ne fut pas banale du tout.
Il aimait les femmes bien en chair et il les peignait avec un bonheur sans cesse renouvelé, le difficile étant de trouver des modèles quand on est fauché, mais le bougre avait des amis... qui avaient des copines.
Pascale, 32 ans, mesurait 1m82 pour 82kg, beau bébé avec des joues d'enfant, de hamster selon Pec. C'était une fille nature et pas trop
pudique, mais un peu craintive. Pour la rassurer, je lui avais raconté que Pec était homo.
Le tableau est superbe, mais Pascale m'avait appelée le lendemain en rigolant : "il n'est pas du tout pédé, ton copain" ! Cela m'avait amusée. Pec était un fameux gaillard.
Huile sur toile
Format 15F (65 x 54 cm)
(Collection personnelle de l'auteur)
Elle s'appelait Ludivine, elle avait une chevelure extraordinaire et elle animait les soirées de cette boîte de nuit du 6ème arrondissement de Paris, un ancien club échangiste au passé sulfureux.
Un soir, au cours d'un strip-tease, elle fit voler ses cheveux, et Pec en laissa tomber son dentier comme le loup de Tex Avery laisse tomber sa mâchoire.
On notera le bijou, qui apparaît sur de nombreuses toiles de cette période, et les mains masculines comme d'habitude.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Pec peignait un fond assez aléatoire, orientait la couleur et la suffusait de diverses teintes ajoutées, pour obtenir un effet dynamique
dans lequel il inscrivait des personnages féminins.
Cette Viennoise qui danse avec une coupe de champagne est à rapprocher de la femme de l'Ode à Manet
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Le modèle qui a posé pour cette toile était une amie, qui aimait la peinture de Pec et appréciait le bonhomme. Ce portrait lui fut offert en cadeau pour ses 50 ans.
Il fallut à Pec plus de temps pour positionner la dame que pour la dessiner, puis exécuter le tableau.
Anecdote : quand le fils a vu la toile, il a été sidéré que sa mère - comme sa copine - soit capable de poser nue pour un peintre.
Il y a des femmes qui sont toujours très belles à 50ans ! On voit cette dame, en tailleur rouge, sur les photos de la page d'accueil.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
En 1997, Pec a été extrêmement créatif, avec des pointes de plusieurs toiles par semaine.
Sa Vénus de Milo est bien dans son style.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Quand il était jeune, Pec aimait bien aller "aux paysages" dans les Ardennes, avec Janssen et son père, journaliste et peintre amateur.
Cette toile est une merveille. Quand Pec l'a vue dans son cadre, il en a eu les larmes aux yeux et il l'a embrassée, avec une ferveur qui en disait long sur les sentiments qu'il portait à ses toiles.
Ce paysage abstrait et surréaliste à la fois, dans un petit format, est un des chefs-d'œuvre majeurs de Pec.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
On nomme souvent ainsi les lesbiennes, femmes plus femmes que les autres dans les fantasmes masculins, sans doute parce que plus
difficiles d'accès.
Les deux lesbiennes de Pec font la fête, et si la maîtresse est splendide dans son ensemble de cuir noir, la soumise est épanouie selon
le goût de Pec, avec des formes généreuses et une douceur qui apportent le contraste. J'adore cette toile et j'aurais bien aimé l'acquérir mais Pec l'aimait autant que moi.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Cette toile donne la réplique à la Danseuse du Feu, bien qu'étant plus récente. Traitée dans les mêmes couleurs, elle a été encadre avec la même baguette par le même artisan.
Elle évoque à l'évidence une tragédie que nombre de filles subissent et qui n'est jamais assez punie, terrible revers de la médaille de la
condition féminine.
Huile sur toile.Format 20F (73 x 60 cm)
Au fil de l'œuvre de Pec apparaissent ici ou là des masques vénitiens. Cette toile sur fond sauvage violet s'inscrit dans la continuité. Le détail montre que Pec maîtrisait parfaitement la technique du portrait.
Huile sur toile
Format 20F (73 x 60 cm)
Une toile mineure, peut-tre inachevée, qui aurait sans doute été promise à un "repentir" ultérieur.
1ère version, 1997
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2ème version, 1997
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Pierrot DémasquéHuile sur toile. Format 30F (92 x 73 cm). (Collection privée)Une autre illustration de la manière qu'avait Pec de faire évoluer ses tableaux, dans la période la plus féconde de sa carrière de peintre.Les effets surréalistes, comme la main à gauche, ne lui ont pas plu assez longtemps pour que la toile soit vendue ; il a fallu que Pec y fasse des retouches, et on retrouve l'esprit vénitien de la Comédie Italienne. |
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1ère version
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2ème version
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Le Repos de la GuerrièreHuile sur toile. Format 30F (92 x 73 cm)Ce tableau a connu des problèmes techniques, on ne voit là qu'une version qui a été remaniée ensuite. Les différences de couleur sont dues aux pellicules de marques différentes. |
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Huile sur toile
Format 40F (100 x 81 cm)
Cette toile magnifique n'existe plus sous la forme présentée ici, elle a été grattée et complètement remaniée.
Huile sur toile
Format 100F (162 x 130 cm)
Pour la petite histoire, cette toile a été montée sur un châssis entretoisé et tourillonné, construit de mes mains. Elle était destinée à un vieux projet de Pec, dont il me parlait souvent : reprendre le Radeau de la Méduse de Géricault, traité en caricatures avec des femmes, bien entendu, que Pec voulait nommer Radeau des Méduses.
Pec a fait autre chose, et cette toile extraordinaire, immense, a été peinte en une seule fois, entre le vendredi 16h où j'ai apporté sur ma galerie le châssis entoilé, et le lundi soir quand le maître m'a appelée pour me dire sa jubilation : il n'avait ni mangé, ni bu, ni dormi depuis 3 jours et 3 nuits, et il était heureux.
Une fois de plus, et cette fois dans une grande dimension, La FEMME est superbe et les hommes tout petits, insignifiants...
Pec a longtemps fait de la scène avant de peindre, il aimait les feux de la rampe.
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