1re version, 1992![]() |
2me version, 1995![]() |
Dernire version, 1998![]() |
Ce tableau, qui a énormément évolué au fil des années, montre bien la manie qu'avait Pec de toujours reprendre, et reprendre encore, des
toiles dont il n'était plus satisfait. Pec a longtemps vécu en Afrique, au Congo Belge d'abord; il aimait les Africains (et plus encore les Africaines) mais il détestait les
colonialistes, disant avec humour que si l'Indépendance du Zaïre avait été aussi tragique, c'était parce que ces cons de Belges avaient voulu obliger les Congolais à parler flamand, ce qui était humainement insupportable. Le tableau met en scène une colonialiste, videmment âgée, au vêtement désuet, et une Africaine, belle et moderne, pour le moment dévouée à sa patronne qu'elle sert, mais rebelle dans l'âme. Pec aimait les femmes mais il ne les supportait pas dans la vie courante, et d'ailleurs quelle femme aurait pu supporter un bonhomme aussi fantasque et bohème? |
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